« On souffre en chiffres ! » Probablement un des commentaires désabusés qu’on entend le plus au sujet du rayon fruits et légumes, et ce bien avant même la crise du Covid-19.
Entre le coup d’œil zapping rapide aux résultats par sous-familles en réunion de secteur et les grandes enquêtes marketing peu utiles, car fouillées a posteriori, on creuse finalement rarement suffisamment pour comprendre en détails où ça flanche et, surtout, ce qu’on pourrait mettre en place pour tenter de prévenir l’érosion du rayon fruits et légumes.
Merci de vous abonner pour lire la suite.